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no cabeçalho, pintura de Paul Béliveau
Depuis le 9 octobre, des vidéos montrant Rached Ghannouchi le président d'Ennahda, le parti islamiste au pouvoir, en conversation informelle avec des salafistes circulent sur les réseaux sociaux. On entend Ghannouchi dire que "les laïcs en Tunisie, bien que minoritaires, ont la presse et l’économie sous leur contrôle. Même l’armée et la police ne sont pas sûrs." Ou encore que "de toute façon, pour nous, il n’y a aucune distinction à faire entre charia et islam" et qu’à ce titre, la référence à l’islam dans l'article premier de la Constitution est largement suffisante pour l'application de la charia en Tunisie. Selon des responsables du mouvement Ennahda, ces enregistrements sont trafiqués.
"A Túnisia, três vezes milenar, terra de Aníbal, de Oqba, de Ibn Khaldoun, de Kheireddine é, por estes dias, governada por um guru. Nem guia moral nem líder político, mas um verdadeiro guru, chefe de uma seita omnipotente com adeptos endoutrinados e obedientes cegos."
O islamismo político não passa de ditadura e escravização do povo, em particular as mulheres. Como a escravatura foi abolida e é proibida, tudo e todos que a promovem deviam ser combatidos e penalizados.
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